ePub and Pub

 Pour Des Annonceurs Atypiques

Si On Travaillait Ensemble Autrement


Pour faire tourner votre boîte la com s’impose tous les jours comme une évidence.

On rêve d’un spot télé, d’un page dans un magazine branché s’adressant aux CSP plus et plus encore, d’un placement dans un 007, que sais-je encore. 

Seulement voilà , tous ces supports coûtent un blinde. On se demande même où les annonceurs trouvent tout cet argent pour nous matraquer de la sorte ? 

Dans nos poches, ah oui, pardon.

Faute de grives… on se rabat sur le Net, les  réseaux sociaux et  on déchante vite. 

Les community managers nous gavent avec leurs promesses et leurs jargons, les crédits de clics se transforment en claques, et les webinars deviennent de vrais séances de tortures où l’on se sent largués dès les premiers minutes.

Que faire ?

Premièrement, si mon baratin vous indispose, vous pouvez aller sur cette page et télécharger un exemple du support singulier et réservé uniquement à une certaine clientèle.


Secondement, je reprends ma petite histoire,  si il n’existe pas une seule voie pour accéder à un sommet, il n’existe pas un seul support pour tenter de séduire de nouveaux clients, de renforcer son image de marque de se distinguer vraiment des autres.

Nous n’avons rien inventé, ni le livre, ni sa version numérique, par contre nous sommes allés plus loin, nous avons juste osé.

    - Osé une approche multimédia pour les contenus, pour la Pub

    - Osé s’intéresser seulement aux micro-budgets : entre 800 & 5 000 euros

    - Osé ouvrir un nouveau support pour  des annonceurs en quête de singularité

    - Osé se foutre des  conventions , des tabous.

    - Osé vous adosser aux grands de l’espèce humaine comme les caractérisent Freud.

Comment faisons-nous ?

Nous utilisons le livre numérique hypermédia comme support. Support de textes, images, sons et vidéos, support de réclames.

Un support, comme l’est un magazine, un journal, une affiche, le Web.

Ce support est au service du contenu, un contenu riche et singulier pour des réclames riches et singulières.

Nous vous adossons à Léonard de Vinci, tout le monde rêve de l’avoir à son board aux côtés de Jobs, Gates et Musk, on vous offre le premier.

Nous vous adossons à Michel-Ange, à la Renaissance Italienne, à l’Impressionnisme français, via Monet, Renoir, Degas, Debussy, Maupassant, etc..

Nous vous adossons à des ouvrages rares, enrichis par nos soins, Wagner, Stendha, Signac, et d’autres à venir …

Comment ils faisaient les vieux avant ?

Prenons Alde Manuce (1449-1515), il vit à Venise et modernise l’édition en proposant un nouveau format précurseur du livre de poche, une nouvelle typographie plus lisible et l’invention de l’italique. Excusez du peu !   

Comme tous les marchands vénitiens Alde connaît «son Fibonacci», la comptabilité en partie double, vulgarisée par Luca Pacioli, un relation de  Leonard de Vinci. Il tient ses comptes, et le retour sur investissement tarde.

Si sa notoriété lui permet de faire du chiffre avec le chaland du Rialto et aristocrates des palais du Grand Canal il est impératif de développer sa zone de chalandise. Pour ce, il utilise un moyen assez simple, dans chaque livre vendu, il insert  une pub sur une feuille volante. 

Le procédé perdure encore les siècles suivants, On connaît des éditions du David Copperfield de Dickens «sponsorisées» du vivant de l’auteur (19e siècle). 

Riche le créateur a les moyens de snober la pub, dans le besoin non. Et le talent n’a rien à voir,  Toni Morrison 23 ans avant son prix Nobel acceptait des encarts insérés par des cigarettiers dans The Bluest Eye.

Une pub dans un livre vous n’y penser pas ! Eh bien si et voilà pourquoi.

L’auteur accepte volontiers d’être promu, de se vautrer dans la pub payée par son éditeur, pour augmenter ses ventes, ses rentes. En retour il refuserait l’argent d’une pub insérée dans son opus, au nom de quoi ? De  l’intérêt du lecteur ? 

Question à double détente.  Celui-ci visiblement n’affiche pas les mêmes états d’âme.  Quand dans les années 70 The Quality Book Group insère des pubs Procter, Q-Tips ou autres dans les livres de poche, les études d’impact sont loin d’être négatives. Si, le rejet de l’idée d’une pub dans un livre existe, il disparaît avec la notoriété de l’annonceur, avec la gratuité de l’ouvrage.

Tout le monde y gagne à priori.

Vous ne serez pas les premiers, vous trouverez ci-dessous quelques exemples d’annonceurs ayant accepté de jouer le jeu, un peu. Une Maison d’Hôtes de Charme (Normandie Impressionnisme), Red Bull (Léonard de Vinci en Romagne et Marches), une maison de Champagnes, une boutique d’Estampes Japonaises, un libraire de Livres Rares, un Éditeur Numérique…

Et puis par les temps qui courent : If the market is slow, what we can do is to try Something New. 

(Grace Slick & David Crosby)