ePub and Pub
Avec les mots justes des écrivains,
les plus beaux tableaux des peintres,
& la musique des meilleurs compositeurs
SÉDUISEZ UN PUBLIC DIFFÉRENT
Les Pubs Ci-dessus sont encapsulées dans un livre.
Une Pub dans un Livre… Quelle Horreur !
Pourquoi ? De quoi parlons nous ?
D’iconoclasme, de contre-culture, de business ?
Si pour vous le contenu prime sur le support
Si l’oeuvre sert le message
On en cause… j’ai encore du temps à vivre
Pour les autres, continuons l’évangélisation
& tentons de faire bouger les lignes
Une approche qualitative à 100 %.
Celle de la Vie Vraie.
Elle n’est pas accessible à tous les annonceurs, elle n’est pas destinée à tous les publics.
Deux exemples plus vrais que nature.
Le Support
L’ouvrage hypermédia (enhanced ebook, livre numérique enrichi) est un support identique à une page WEB, donc à un magazine, un quotidien ou une chaîne d’infos. Il supporte tous les types de messages publicitaires : textes, images, vidéos, slogans, etc. Mais en quoi est-ce différent ?
Les annonceurs sont convaincus du bien-fondé des médias de masse, du courant dominant, du matraquage, d’un quantitatif trash parfois, souvent… & les prix flambent.
Pour être plus clair, ils se dopent et nous dupent.
Monet Au Désespoir
La première épouse de Monet est au plus mal, elle va mourrir et souffre. Le maître de l’impressionnisme pictural ne sait plus à quel saint se vouer pour la soulager. Il supplie le docteur de Bellio, homéopathe & collectionneur des oeuvres de Renoir, Morisot, Pissarro (un adepte convaincu de l’homéopathie prodiguant ses conseils à qui veut bien l’entendre), d’intervenir…
Le dernier portrait de Camille Doncieux est admirable, la mort triomphe. On imagine un peintre fou de douleurs ne pouvant s’empêcher de garder pour lui cette dernière image de l’être aimé. La médecine du pauvre ou du riche doit s’avouer vaincue
On voit aussi sur le portrait du Dr Gachet, peint par Van Gogh pour mémoire, une fleur de digitale en référence à sa pratique de l’homéopathie. L’air d’Auvers n’est pas bon pour les loosers, on connaît la fin.
En s’adossant à ces génies, un laboratoire spécialiste de cette médecine, peut sans être intrusif toucher un lectorat sensible, voire attentif à son message. Il n’a pas osé, la place est libre.
Idem, pour une marque de préservatifs voulant s’adosser à Léonard de Vinci ou Michel-Ange. Les génies de la Renaissances assument leur homosexualité, la revendique même. Seulement voilà, aujourd’hui pour faire du trash et de l’audience on va traiter Léonard de pédophile. Il ne l’est pas, pédéraste oui, mais pédophile non. Il existe une différence de taille entre les deux comportements.
Il existe aussi au 16e siècle des hommes amoureux d’autres hommes sans que cela soit réellement répréhensible aux yeux du pouvoir, le pouvoir comptant en ses rangs aussi des homosexuels (le mot n’existant pas à l’époque en parlera plus librement de sodomites).On est assez bien documenté sur le sujet. Mais les maladies sexuellement transmissibles existent déjà et pour lutter contre, on s’en remet le plus souvent à la foi, ignorant la prophylaxie. Le «mal français» fait des ravages, hier comme aujourd’hui. Ni l’un ni l’autre n’ont été contaminé, mais Benvenuto Cellini, un enfoiré de sculpteur génial, oui & ça fait peur.
Alors en lisant «Les Amours Florentines» un message sur le port de la capote, d’un préservatif, n’est pas forcément déplacé, choquant.
La vie et les oeuvres des grands de l’espèce humaine, comme les qualifie Freud, valent d’être déterrées de la bienséance & portées à la connaissance d’un public restreint mais ouvert.
On s’amuse bien aussi dans la cour des petits.
Léonard & Michel-Ange Gay-Friendly
UN APPEL AUX LOOSERS DE MON GENRE
SOYEZ STUPIDES MAIS PAS CUPIDES
Une Prise De Risques À Fonds Perdus…
Peut-Être
Pour Des Investisseurs Atypiques
Sachez le, la loose je connais, en sport comme en affaires.
Pré-sélectionné olympique, au lieu de mettre toutes les chances mon côté en 76, je me suis planté lamentablement. Montréal… c’était sans moi.
Dans le business, j’ai failli plusieurs fois & remis l’ouvrage sur le métier pour mieux faillir encore, une paraphrase de Beckett, pour ceux qui connaisse. Résultats de cette vie d’échecs ? Des sentiers de plus en plus ardus, de moins en moins empruntés par les champions du marketing.
À ce stade, on trinque avec les loosers, on couche dans l’étable des slow horses… mais l’espoir de faire bouger une ligne, juste une seule demeure.
Pour réaliser un ouvrage hypermédia et le faire connaître il ne suffit pas d’une simple ligne tracée par une encre bleue sur quelques feuilles de papier, on plonge dans un matérialisme économique & culturel (doxa & mass média). Il faut du matos, des livres (papiers ou numériques), des CDs, des cassettes, du riz et des pâtes, des effilés pour les chats, du courant et de l’eau, un toit et de l’essence, du temps, beaucoup de temps. Il ne s’agit pas de lutter contre, mais d’exister avec de loin, juste le temps de trouver une nouvelle voie pour un sommet peu connu.
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